Apres son séjour à Bruxelles dès son retour en terre centrafricaine le président de la République le professeur Faustin archange Touadera, au delà des instructions donné au gouvernement pour une meilleur gestion du drame de barthelemy Boganda, a entrepris d’accompagner et de communier avec les familles des victimes de ce drame, laissant ainsi s’exprimer tout son humanisme et son empathie envers son peuple .
C’est une fin de mois sombre pour le peuple centrafricain et la grande famille éducative qui au lendemain des évènements dramatiques survenu au centre d’examen numéro 1 du baccalauréat 2025, au lycée Barthélémy Boganda de bangui, est passée à une période sombre de son histoire .Bien que ces événements tragiques soient survenu alors qu’il était en mission hors du pays, depuis Bruxelles où il etait en déplacement, dans ça grande magnanimité le président centrafricain Faustin-Archange Touadéra a décrété trois jours de deuil national et a adressé ses condoléances aux familles des victimes . Le président a également instruit le gouvernement d’assister les familles des victimes et les blessés, ainsi le pays tout entier est resté unis aux côtés des familles de victimes dans ce moment d’épreuve.
President Touadera l’exemple par excellence d’empathie et de compassion envers le peuple
Loin d’en faire une récupération a des fins politiques comme certains politiciens du pays, Des son retour de mission, le père de la nation a entrepris d’aller vers les familles des victimes de cet horrible drame . Ainsi le 5 juillet 2025 restera dans les mémoires comme une journée empreinte d’émotion et de dignité. Lors de sa rencontre avec les familles des victimes , le Chef de l’État dans tout son humanisme s’est livré à un moment de partage d’une intense rareté emotionnelle. Le Président Touadera serrant la main d’une mère, meurtrie, brisée par la perte d’un enfant. Ce geste simple, cette image presque silencieuse mais dotée d’un message retentissant, a tel un cri à l’endroit de l’humanité. pas besoin de mots tout était dit. A cet instant suspendu, le Président n’était plus seulement un chef d’État, mais un père, un enseignant, un frère, un homme profondément touché par la douleur de ses compatriotes. À travers cette étreinte, c’est toute une nation qui s’est sentie unie dans la peine, mais aussi dans l’espérance.
Ce geste, aussi discret qu’il soit, a redonné un éclat de lumière dans l’obscurité du deuil. Il a dit ce que les discours officiels n’auraient pu exprimer avec autant de vérité : la proximité, la compassion, l’empathie sincère.
En ce jour de larmes, Faustin Archange Touadéra a rappelé à son peuple qu’au-delà des fonctions, des titres, et des responsabilités, il reste un homme. Un homme qui porte avec son peuple le poids de la douleur, mais aussi l’espérance d’un lendemain plus serein.
Initiative Touadera pour la transformation nationale
